Un terrible incendie (1/10)

Les propos d'un voisin (2/10)

Une grande solidarité (3/10)

Une ami proche témoigne (4/10)
"Dans la communauté musulmane, dans une famille endeuillée, on ne cuisine pas pendant sept jours. Ce sont les amis, les voisins qui prennent en charge les repas", a expliqué Fatima, une amie proche de la famille. "On essaye d'alléger leurs responsabilités administratives pour faciliter toutes les tâches et permettre le rapatriement (NDLR : des corps en Turquie) comme il se doit, dignement".

Un oncle anéanti (5/10)
Le jour de l'incendie, David Tutan, un oncle des trois jeunes filles a essayé de les extirper de la maison en flammes, mais il n'a rien pu faire. Depuis ce drame, il passe son temps assis devant les fleurs, peluches, et autres messages d'affection laissés par les habitants de Brumath.

"L’enfer, ce n’est rien à côté de ça" (6/10)
"J’ai cru voir l’enfer, mais l’enfer, ce n’est rien à côté de ça. Notre vie s’est arrêtée ce jour-là. Ce ne sont pas mes nièces que j’ai perdues, ce sont mes enfants, je les connais depuis toutes petites. Leur maman, ma cousine, c’est comme ma sœur, on a grandi ensemble", a-t-il confié.

Les enseignants et les camarades des fillettes en deuil (7/10)
Les deux plus grandes filles étaient scolarisées à l’école élémentaire Robert-Schuman. Un établissement où il y a également de nombreux mots en hommage aux victimes, en plus des fleurs et des bougies devant la porte principale. Les enseignants et les camarades des fillettes sont en deuil. Il y a plusieurs recueillements par jour devant l'école avec de nombreux parents d'élèves.

Une cagnotte en ligne a été créée (8/10)
Selon les informations de France Bleu, une cérémonie a eu lieu à la mosquée du quartier de la Meinau, à Strasbourg, avant le rapatriement des corps en Turquie. Une cagnotte en ligne a été créée afin d'aider la famille.

Les pompiers salués (9/10)
Si les circonstances de l'incendie restent à déterminer, les proches des victimes ont salué l'intervention rapide des pompiers, malgré un constat tragique au bout du compte. Les flammes se sont répandues tellement vite qu'ils n'ont pas pu sauver les trois fillettes.

Des propos honteux (10/10)
Enfin, France Bleu a rapporté le vendredi 2 mai 2025 qu'une enquête administrative a été ouverte contre un soignant qui a vu la famille des victimes arriver aux urgences. "Il y a une mosquée ici ou quoi ?", peut-on entendre dans une vidéo devenue virale sur les réseaux sociaux. Le maire de Strasbourg est intervenu et a demandé des sanctions fortes contre l'individu en question.

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