Le sexe bon pour la santé (1/13)

La libido des Français est en berne (2/13)

Une baisse des rapports sexuels (3/13)

Un quart des Français n'a pas eu de rapports au cours des 12 derniers mois (4/13)
Pas d’inégalités sous la couette. Pour le coup, les deux sexes sont dans le même bateau avec 78 % des hommes et 74 % des femmes ayant déclaré avoir fait l'amour au cours des 12 derniers mois.

De moins en moins actifs sexuellement (5/13)
Ce déclin des passions se mesure également par celui de la fréquence hebdomadaire des rapports sexuels de nos French (plus si) lovers. En 2024, 43 des Français avancent faire l’amour au moins une fois par semaine contre 58 % en 2009.

Abstinence a un impact négatif (6/13)
Non sans conséquences, l’abstinence impacte négativement le corps et le moral. Les experts en sexualité et en relations déplorent ainsi l’impact désastreux sur la santé du manque d’activités sexuelles.

Voici ce qui arrive à votre corps lorsque vous n'avez plus de rapports (7/13)
À en croire différentes publications et les médecins, ce sont les hommes qui sont les plus affectés par ces périodes durant lesquelles "c’est ceinture".

La taille du pénis change (8/13)
Ces messieurs sexuellement inactifs peuvent, entre autres, souffrir d'une maladie très rare appelée atrophie pénienne. Le cauchemar de nombre d’entre eux se traduisent par un raccourcissement des tubes du pénis qui soutiennent une érection. Dans certains cas, ce phénomène peut entraîner une diminution de la taille du pénis.

Des douleurs pour les femmes (9/13)
Si le pénis peut s’atrophier, il en va de même pour le vagin. Ainsi, se remettre en selle après un long moment sans rapports sexuels peut entraîner des douleurs plus ou moins intenses pendant l’acte.

Des risques de cancer (10/13)
En outre, d’après une étude publiée dans le Journal of Sexual Medicine en 2018, les hommes abstinents voient une augmentation de leurs risques de développer un cancer de la prostate.

Les conséquences psychologiques d'une absence de rapports (11/13)
D’un point de vue psychologique, hommes comme femmes en situation d'abstinence peuvent endurer une augmentation du niveau de stress, une baisse de l’estime de soi, un état dépressif ou encore des troubles du sommeil.

Des problèmes d'addiction (12/13)
Sébastien Garnero, psychologue clinicien interrogé par Santé Magazine, souligne que le manque peut "engendrer des systèmes compensatoires par le biais d’une sexualité auto-érotique accrue, voire d’addiction à la pornographie ou à la cybersexualité, soit par d’autres phénomènes comme la consommation excessive de nourriture ou d’alcool".

On ne s'intéresse plus à notre partenaire (13/13)
D’autre part, il y a ceux qui, en s’éloignant de la chair, en ont de moins en moins envie. "Il arrive aussi que l’on se désintéresse de son partenaire ou que l’on désinvestisse complètement le sexe", conclut le sexologue.

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